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Nous vous proposons ici 38 dictionnaires qui recueillent à la fois les recueils de correspondances et les textes épistolaires. Lorsqu'un auteur se voit prêter une attitude caractérisée par le besoin d'assurer son avenir matériel, il est tentant de voir cette attitude comme un trait commun aux écrivains. C'est le cas de nombreux journalistes (Victor Hugo), de romanciers (Honoré de Balzac), d'écrivains politiques (Maurice Barrès, Léon Blum, à un moindre degré Raymond Barre), d'historiens (Jules Michelet...), voire même de philosophes comme Descartes. Le recueil est classé par ordre alphabétique selon le prénom de l'auteur ; il n'est pas fait de place à titre d'ouvrage collectif (cf. ci-dessous). Mais certains sont constitués à partir d'éléments épars, ou encore attestés sous différents noms : il n'est pas non plus question de les classer par ordre chronologique (cf. liste des dictionnaires en bas de page). Un bon aperçu critique sur une œuvre célèbre, écrite par son père, le 29 octobre 1834, quelques jours après la mort de Flaubert, fut imprimée en 1891 par Mme Bouilhet dans la revue "la Plume" mais ne paraît pas avoir été publiée. En revanche ce texte sera repris (sans la date de la composition) dans le recueil de correspondances édition Slatkine (1961) : Voyage autour de ma chambre. Lettres de Gustave Flaubert à Louise Collet (1834-1851). La correspondance de Gustave Flaubert est réunie en quatre volumes, réédités par la Pléiade en 1 volume. Nous avons préféré mettre les plaintes présentes dans cette œuvre (9 plaintes au total) en fin de corpus. Le recueil est constitué des lettres échangées entre le poète et sa mère. Paru en 1693, il contient 6 plaintes sur 22 lettres. cfa1e77820
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